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La Comédienne Anthéa Sogno se bat avec fougue pour Juliette Drouet
Consulter la Dépêche Scène – Agence France-Presse 04/02/12

La comédienne Anthéa Sogno se bat pour la parité
Son engagement en faveur de Juliette Drouet, l’amour de Victor Hugo
Projet d’inauguration d’une plaque place de la Concorde
Consulter le communiqué de presse – 8 mars 2012 – Journée internationale de la femme

La presse

LE POINT : *** « Un spectacle intense, rare, palpitant. Il fallait une passionnée pour incarner Juliette. Qu’elle s’attache à Feydeau ou Guitry, Anthéa Sogno met du feu et des flammes dans tout ce qu’elle touche. Enthousiasmant ! » F. Ferney

LE POINT : « Allez donc voir Victor Hugo, mon amour […] Vous y applaudirez une étourdissante comédienne, Anthéa Sogno, une des rares, de nos jours, à brûler les planches. […] Ainsi, nul besoin, comme « Totor », de faire tourner les tables pour ressusciter le couple le plus ardent du romantisme. Avec des mots, et quels mots — les leurs ! — , la magie du théâtre dévoile, sous la légende, un panthéaon intime qui ne s’ouvre que pour vous. » Claude Imbert

TÉLÉRAMA : TT « Le fil que tire Anthéa Sogno, à travers la correspondance du couple mythique, dessine avec sensibilité, émotion et parfois humour, un amour fait de désir, de tendresse, de jalousie inquiète. Un très joli spectacle au ton juste et plaisant. » S. B. Gresh

L’EXPRESS : ** « Voici comment créer de l’inoubliable avec de l’éphémère. Jamais l’amour d’une femme n’a donné un spectacle si bouleversant. On connaissait le génie d’Hugo, et là on est charmé par la plume de Juliette, ému par tant de dévouement. » C. Barbier

LE FIGARO : « Le défi était risqué mais Anthéa Sogno le relève haut la main, avec poésie et humour, et cela donne une pièce enthousiasmante, vibrante de passion, qui réjouira les amateurs de littérature et de sentiments enflammés. Anthéa Sogno y incarne une Juliette inoubliable, et Sacha Petronijevic, un Victor Hugo plein de retenue, très juste et attachant. » N. Simon

PARISCOPE : PP « Une belle réussite ! Le spectacle est drôle, bouleversant, on rit, on pleure, on s’amuse. Une fête pour l’œil et l’oreille. Pour restituer et illustrer ce couple mythique, deux excellents comédiens, sans oublier la mise en scène soignée de Jacques Décombe. Tout est raffiné, les décors, la musique et les costumes sont superbes. » A. Frazier

LE FIGARO MAGAZINE : « Le résultat est des plus agréables. Sacha Petronijevic, excellent comédien, compose un Victor Hugo des plus crédibles. Quant à la belle Anthéa, elle est plus romantique et sensuelle que jamais. »

LA CROIX : « Anthéa Sogno interprète Juliette avec pulsion charnelle et sensuelle, un engagement total. Sublime ! » J. C. Raspiengeas

MADAME FIGARO : « Parmi toutes les raisons d’aller voir la pièce il y a l’humour et la fougue avec lesquels sont résumés cinquante ans d’une passion entre désir et tyrannie, érotisme flamboyant et tragi-comédie du quotidien. » M. C. Delacroix

LE NOUVEL OBSERVATEUR : « Sacha Petronijevic et Anthéa Sogno forment un bien joli couple dans ce spectacle brillant. Pas étonnant qu’ils soient amenés à jouer les prolongations. » J. Nerson

LE FIGAROSCOPE : « Un très beau spectacle, très soigné… Comédiens indiscutables. » J.-L. Jeener

LA TRIBUNE : « La mise en scène de Jacques Décombe est pleine de vivacité. Anthéa campe à merveille le personnage de cette femme passionnée et Sacha Petronijevic incarne avec autant de finesse l’homme politique que l’amoureux qu’était Hugo. »

FEMINA : « Un hommage drôle et émouvant, un beau portrait de femme engagée, amoureuse et fidèle, très justement interprété. »

VALEURS ACTUELLES : *** « Un spectacle intense et passionné […] Anthéa incarne sa Juliette au-delà même du rôle. Elle se donne à elle comme elle s’offrit à Victor Hugo. Un bien joli moment de théâtre. » François d’Orcival

LE TEMPS.CHAmour-fleuve, spectacle flamboyant – Marie-Pierre Genecand 11.10.2012

«Victor Hugo, mon amour», au Crève-Cœur, à Genève
23 630. C’est le nombre colossal, pharaonique de lettres que se sont échangées Victor Hugo et Juliette Drouet pendant les cinquante ans qu’a duré leur amour hors norme. Ce gigantisme n’a rien d’étonnant pour l’auteur des Misérables, roman-bible dont on fête les 150 ans cette année. Tout est grand chez Hugo. Sa foi dans la justice sociale, son engagement politique, sa passion pour le théâtre et la poésie, son appétit sexuel (si, si), sa production littéraire et, bien sûr, son déchirant chagrin à la mort de Léopoldine, sa fille chérie.
L’adoration exclusive, radicale que Juliette Drouet lui portait s’inscrit donc parfaitement dans ce parcours king size. Et explose sur la scène du Crève-Cœur, à Genève, où Anthéa Sogno joue une Juliette flamboyante aux côtés d’un Hugo, Sacha Petronijevic, solide et intense. Encensé par la critique et le public, le spectacle tourne en France depuis trois ans. Le Crève-Cœur, à Cologny, sur les hauts de Genève, constitue un écrin idéal à cet amour brûlant.
Anthéa Sogno. Le nom de cette comédienne qui dirige un théâtre à Monaco est à lui seul une promesse romanesque. La jeune femme est à la hauteur des attentes. En plus de sa beauté, Anthéa Sogno a une fougue, une exaltation qui la rendent fascinante. Exactement comme son modèle, ou plutôt son idole, Juliette Drouet, qui remplit sa vie depuis trois ans. Sauf qu’à l’inverse du rayonnement de la jeune femme d’aujourd’hui, Juliette Drouet a accepté de sacrifier sa carrière de comédienne et sa vie sociale pour l’homme qu’elle adorait. On l’apprend dans le spectacle,  dynamique montage de cette correspondance-fleuve et des différentes œuvres d’Hugo, l’écrivain interdisait à Juliette de sortir sans lui. Il ne s’interdisait pas en revanche de voir d’autres femmes. Juliette l’adorait néanmoins. «Je doute de tout, je doute des hommes, je doute des dieux, mais je ne doute pas de mon amour pour Hugo», lance-t-elle en ravalant son
chagrin. «Tu es ma vie, tu seras mon éternité», lui répond l’écrivain dans le livre d’anniversaire qu’il tient chaque année depuis leur première nuit, le 17 février 1833.
Bien sûr, on peut s’interroger sur la légitimité d’une adoration si aliénante. On est surtout emporté par le torrent de cette passion que les deuxcomédiens font revivre dans des costumes et mobiliers d’époque qui garantissent le dépaysement. Immergé dans ce XIXe siècle de tous les changements républicains auxquels Hugo a contribué, on comprend Juliette, sa dévotion, son engouement.

Les internautes

« Cette adaptation fine et enlevée nous brosse un tableau aussi fidèle que possible de ce qu’était la relation du couple Hugo-Drouet. Les évènements y sont clairement racontés, et ce mélange de vie, de lettres et d’œuvres nous projette dans l’atmosphère intellectuelle et romantique des personnages. Destin de deux amants éperdus, qui sont parvenus au-delà de tous les obstacles à vivre ensemble. » Cécile Doukhan, Les trois coups

« Transposition théâtrale rythmée et dynamique, intelligente et pleine d’émotion et mise en scène avec beaucoup de soin, de précision et de rythme par Jacques Décombe. Les comédiens sont d’une intensité et d’une vérité qui nous transporte du rire aux larmes. Anthéa Sogno, comédienne vive et talentueuse, pétillante et sensuelle, prête à Juliette Drouet sa beauté rayonnante et sa maitrise d’une belle palette d’émotions pour restituer son caractère romantique, attachant et dévoué. Elle virevolte, trépigne, s’enthousiasme, aime avec une fraîcheur extrême, et une pétulance à laquelle rien ni personne ne saurait résister. Dire que le public est conquis et n’a d’yeux que pour elle relève de l’évidence. »  Froggy’s Delight

« Un petit joyau ! Le travail d’adaptation, le choix éclairé des lettres et surtout leur agencement sous forme de dialogues reconstitués produisent une authentique œuvre théâtrale. Les deux comédiens interprètent avec fougue et sensibilité ces deux amants. La flamme qui illumine le regard de Juliette tout au long de la représentation est un réel bonheur. Elle donne une grande intensité à ce personnage qui a voué sa vie à son amour. Quel magnifique spectacle ! » Passage à l’acte

« Anthéa Sogno, a plongé dans cet océan de mots d’amour pour en faire surgir ce spectacle à deux voix, habile et sensible. L’intelligence de cette pièce est d’abord qu’elle en est une. De ces lettres échangées sans relâche naît un dialogue qui retrace l’histoire des deux amants dont chaque étape marquante est jouée avec entrain, humour, colère ou désespoir. Les changements de toilette, les empoignades, les embrassades se succèdent sur un mode virevoltant. Anthéa est une Juliette qui emporte tout sur son passage, joyeuse, émouvante et généreuse. C’est un pari plus que réussi. » Didier Dahan, Théâtrothèque


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